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Mariage et parentalité

Les adoptions internationales de mineurs ont connu une chute vertigineuse depuis les années 2000. Elles ont été divisées par 3 en 10 ans. Les spécialistes envisagent de développer les mères porteuses (GPA) pour palier à ce manque. Les mensonges du mariage pour tous sont dévoilés les uns après les autres.

En 2003, il y eu 40.000 adoptions internationales de mineurs dans le monde. En 2013, elles étaient 3 fois moins nombreuses.

Bien sûr, cette baisse des adoptions n’est pas liée à l’homoparentalité, même si beaucoup de pays refusent de laisser partir leurs orphelins vers les pays qui ont légalisé l’adoption pour les couples homosexuels et que de fait, le nombre d’enfants adoptés s’en retrouve diminué dans ces pays. A l’échelle mondiale, cette baisse des adoptions s’explique par des motifs sociaux-économiques : baisse de la mortalité, hausse du niveau de vie, développement de la contraception et ratification en 2013 de la Convention de la Haye sur la protection des enfants, qui interdit notamment (et heureusement) la rétribution en échange des enfants. Une autre norme que le lobby LGBT finira par faire tomber, tant il estime que le « désir d’enfant » est un droit plus primordial que le bien-être de l’enfant.

Interrogé par 20minutes, le chercheur au Groupe d’étude des méthodes de l’analyse sociologique de la Sorbonne, spécialisé dans les question sur l’adoption, François Mignot, a expliqué :

« Pour la France, ce chiffre restera faible car peu de mineurs sont adoptables. C’est pourquoi j’évoque, à propos des couples pour qui la procréation médicalement assistée (PMA) n’a pas fonctionné, le développement des demandes de gestation pour autrui (GPA). » Nous y voilà !!

Deux importants mensonges de la propagande pro mariage pour tous sont ainsi démontés :

-« Il vaut mieux que ces enfants soient dans une famille homo que dans un orphelinat africain ». Certainement, mais la vérité et la situation actuelle rendent cet argument caduque : il y a bien plus de familles en demande que d’enfants à pourvoir. Donner un enfant à adopter à un couple homosexuel revient donc à l’enlever à un couple hétérosexuel (un homme et une femme). Dans la mesure où ces enfants ont déjà subi de lourds traumatismes, faut-il vraiment leur faire porter le poids de la position idéologique de Taubira et Belkacem ? Moqueries et difficulté d’assumer une famille homoparentale dans les cours d’écoles, de collèges, ou de lycées, que chacun regrettera mais qui est une vérité ; besoin d’altérite sexuelle, qui est la base de toute forme de vie, comme repère psychologique pour l’enfant. Besoin d’un papa et d’une maman, tout simplement, comme le pensent certains fascistes réactionnaires obscurantistes homophobes et bien sur Catholiques (comme si les Musulmans, les Juifs et toutes les civilisations de l’histoire et de la planète ne l’avaient pas toujours pensé). D’ailleurs, de la même manière les femmes célibataires ne devraient pas avoir accès à l’adoption.

-« La GPA n’est pas l’étape suivante ». On se souvient d’Élisabeth Guigou, qui jurait à l’Assemblée nationale, lors du débat sur le Pacs, que l’adoption et le mariage n’étaient absolument pas la prochaine étape et que seuls les homophobes pouvaient le croire. Taubira nous a fait le même coup avec la mariage pour tous et la GPA. On le voit, le recours aux mères porteuses (terme qui passait mal et dont les communicants du lobby homo ont réussi à imposer la destruction au profit de celui de GPA, qui est moins clair et choquera moins dans les chaumières de ces pauvres beaufs de la France profonde. Orwel nous a bien expliqué comment le contrôle du langage est important dans les régimes totalitaires).

Le retour à l’esclavagisme, c’est maintenant !

Source : 24HeuresActu

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