Le collectif Rainbow UOM, constitué d’une
centaine de jeunes universitaires déterminés à combattre l’Homophobie et à
défendre les droits de la communauté LGBT au sein de l’Université de l’île
Maurice, part en croisade contre les textes homophobes qu’il juge un peu trop
fréquents dans le répertoire de la chanson mauricienne.
centaine de jeunes universitaires déterminés à combattre l’Homophobie et à
défendre les droits de la communauté LGBT au sein de l’Université de l’île
Maurice, part en croisade contre les textes homophobes qu’il juge un peu trop
fréquents dans le répertoire de la chanson mauricienne.
« Nous sommes tombés sur une chanson du
groupe Evolozik, intitulée Missié Là », explique Dayolen Kitsnen,
président du collectif à la version mauricienne de l’hebdomadaire l’Express.
Non seulement la chanson comprend la phrase « Missié
la, missié la, missié la mais oui li pas normal », mais son clip met en
scène un homme efféminé qui tente de séduire des hommes. « Nous sommes formellement contre ce genre d’ouvres artistiques,
car ces artistes sont en train de véhiculer un message trompeur …/… Nous
allons étudier les répertoires de la musique locale, nous allons organiser des
forums débats et par la suite parler à la MASA » (Société de gestion des droits
d’auteurs) assure Dayolen Kitsnen.
groupe Evolozik, intitulée Missié Là », explique Dayolen Kitsnen,
président du collectif à la version mauricienne de l’hebdomadaire l’Express.
Non seulement la chanson comprend la phrase « Missié
la, missié la, missié la mais oui li pas normal », mais son clip met en
scène un homme efféminé qui tente de séduire des hommes. « Nous sommes formellement contre ce genre d’ouvres artistiques,
car ces artistes sont en train de véhiculer un message trompeur …/… Nous
allons étudier les répertoires de la musique locale, nous allons organiser des
forums débats et par la suite parler à la MASA » (Société de gestion des droits
d’auteurs) assure Dayolen Kitsnen.
Le climat majoritairement homophobe de l’île
Maurice, où des familles n’hésitent pas à faire interner leurs enfants pour
les « guérir », n’est plus à démontrer.
Maurice, où des familles n’hésitent pas à faire interner leurs enfants pour
les « guérir », n’est plus à démontrer.
Malheureusement des commentaires à l’article
de L’Express, tous consternants dans le style « Que doit-on faire?
Promulguer une maladie ou éduquer les gens? » ou encore « Pourquoi Sodome
et Gomore furent aneantis??? Qui sera maman et qui sera papa entre deux
hommes? » confirment l’importance du travail à accomplir en matière
d’homophobie sur l’île.
Back to Top
de L’Express, tous consternants dans le style « Que doit-on faire?
Promulguer une maladie ou éduquer les gens? » ou encore « Pourquoi Sodome
et Gomore furent aneantis??? Qui sera maman et qui sera papa entre deux
hommes? » confirment l’importance du travail à accomplir en matière
d’homophobie sur l’île.
EN SAVOIR PLUS: La page Facebook
de Rainbow UOM
de Rainbow UOM


