in

Neon Bible, Arcade Fire

Trois ans après Funeral, sacré album de l’année 2004, salué unanimement par la critique, et vendu à plus de 750.000 exemplaires à travers le monde, Arcade Fire est de retour avec une galette enregistrée dans une Eglise transformée en studio, où l’orgue se mêle à un orchestre et à des chours d’enfants (notamment sur le titre Intervention).

L’album, qui emprunte son nom, à l’auteur américain John Kennedy Toole, s’annonce plus obscur, plus dense, plus torturé que son prédécesseur.

Dès le premier titre Black Mirror, au refrain envoûtant, voire inquiétant, emmené par le murmure de l’alchimie cordes, guitare, on retrouve le terrain connu de l’univers Arcade Fire, mais avec une pointe d’énergie, voire d’agressivité en plus.

A noter aussi le titre « The Well And The Lighthouse » que The Cure n’auraient pas renié.

Sur scène c’est un vrai festival, tant les sept membres du groupe échangent leurs instruments avec une facilité déconcertante.

Si tu ne les as pas encore applaudi, cours-y vite, ou en tout cas n’oublie pas de commander ton Neon Bible, auquel on prédit un avenir encore plus beau que celui de Funeral !

N’hésite pas à visiter le site officiel d’Arcade Fire, ainsi que leur site Myspace.





Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Que faire ce week-end ?

Djinn djinn, T1, Le sortilège de Sa’âdât