Il parat que Paris s’amuse depuis le dbut de cette nouvelle anne, qui devrait tre par ailleurs un grand millsime (parole de Jocelyne van Jyvoisrien, ma vieille copine extralucide qui n’y voit jamais rien, mais aime boire autre chose que du lait, se couper les cheveux en quatre-quart et faire des bonhommes de neige sous le soleil de minuit. ou plus exactement de 5h du mat’, car ce moment-l, elle n’a pas de frisson l’insu de son plein gr). Excusez-moi, mais notre bonne vieille capitale s’est toujours amuse, et ceci depuis quelques annes dj. Certes, les soires prolifraient beaucoup moins qu’actuellement, et les « pass » taient distribus dose homopathique et de manire beaucoup plus intelligente. Alors bien sr, il fallait y aller de son porte-monnaie. Aujourd’hui, ce serait plutt l’inverse : les soires prolifrent de manire exponentielle quant aux « pass », ils pullulent tellement et dans n’importe quelle poche, que cela en devient « homopathtique » ! Alors bien videmment, quand tout est gratuit, il et clair (mre de mademoiselle de Limoux) que tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, et on s’amuse comme des petits fours. Ah bon ?! C’est pourquoi, une fois de plus , je suis oblig de pousser mon cri d’indignation : « Stop in the name of ceux qui le lavent vraiment bien ! » Merci de faire la part des choses (l’adage tant qu’on ne mlange pas les vieux torchons avec les propres serviettes), et de reconnatre le beau linge parmi cette foule de pauvresses qui font les belles (alors que franchement, il n’y a vraiment pas de quoi) et envahissent nos nuits parisiennes, alors qu’elles n’ont mme pas de quoi se payer un ticket de mtro. Parce que si on organisait le concours de la plus « mange-merde » des pauvresses, un botin n’y suffirait pas pour les inscriptions. Donc, messieurs les promoteurs de soires, et pour votre contrition, vous me copierez cent fois : « Des charters pour les pauvresses ! » Sinon panpan cucul la praline Renaud !
[fabrice descatoire]
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