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Pays-Bas (Un bébé confié à un jeune couple lesbien pour une émission de téléréalité)…

Pays-Bas – Un bébé confié à un jeune couple lesbien pour une émission de téléréalité : Produite par Endemol et adaptant une émission de la BBC, la chaîne néerlandaise BNN va diffuser un programme intitulé «Un bébé à louer» où 4 couples vont pendant 3-4 semaines élever 4 enfants qu’on va leur confier. Un nourrisson, un bébé, un enfant et un adolescent se retrouveront confiés aux couples. Concernant le couple lesbien, c’est «pour rendre la chose plus attractive» déclarait ce matin au micro de RMC l’un des représentants d’Endemol pour qui il s’agit avant tout d’un programme éducatif. Autre particularité, les couples sont âgés de 17 à 20 ans. A l’origine, l’émission britannique visait à sensibiliser les adolescents aux défis de la parentalité alors que le Royaume Uni connaît un nombre très important de grossesses précoces. Aux Pays-Bas, on semble être plus porté sur le sensationnalisme. Huit émissions sont programmées.

Berlin – Création de la première maison de retraite Gay européenne : A l’initiative d’une association allemande LGBT «Village», une maison de retraite d’un genre nouveau va ouvrir ses portes le 18 Janvier prochain, à Pankow, quartier Nord-oriental berlinois. Il s’agira d’une maison de repos dédiée presqu’exclusivement aux gays et lesbiennes, avec une capacité d’accueil de 28 personnes âgées (18 chambres individuelles et 5 doubles), et bénéficiant d’un encadrement médical spécialisé. On n’a pas d’informations sur les autres modalités d’admission, mais on imagine que la structure est réservée à un public qui a les moyens .

Toronto – Le Canada interdit le don d’organes aux homosexuels : D’après de nouvelles règles de santé entrées en vigueur au Canada en Décembre dernier, les hommes qui ont eu un rapport sexuel avec d’autres hommes dans les cinq dernières années de leur vie, ne seront désormais plus acceptés en tant que donneurs d’organe. A cet effet il est prévu de faire passer des entretiens aux familles de celui qui s’est inscrit sur les listes de don, pour évaluer si celui-ci a eu des comportements à risques, s’il a voyagé ou s’il a séjourné en prison avant son décès. Aucune association n’aurait pour le moment tiqué, mais Gary Levy, directeur du programme de transplantation de l’université de Toronto, qui n’a même pas été informé des nouvelles règles, en a tout de même souligné le caractère absurde, expliquant que par le passé, la communauté gay était certes considérée comme une population à risques, mais que depuis, on a constaté que celle-ci n’était pas homogène. En clair les comportements sexuels à risques sujets à préoccupations, peuvent tout autant se retrouver chez les hétérosexuelLEs.

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