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Christophe Willem : Pour moi les relations humaines sont une question de grande personne

J’arrive dans ce grand hôtel parisien, à l’atmosphère feutrée et je m’annonce à la réception. « Bonjour j’ai rendez-vous pour une interview ! », « oui très bien, on vous attend, c’est tout droit ». Quelques pas et me voici à l’orée d’une grande salle cosy, où sont disposés de nombreux canapés de velours, sur d’épais tapis à dominante pourpre. Quelques personnes d’allure chic mais à l’abord taciturne, sirotent tranquillement un thé ou un soda, sous la verrière qui diffuse une lumière agréable. Je fais un tour d’horizon, à la recherche d’une feuille de salade, qui trahirait peut-être la présence de ma prochaine cible interviewée. Point de laitue à ma droite, ni batavia au centre. C’est à ma gauche que se trouve la tortue, en grande conversation avec une jolie journaliste blonde. Comme des milliers de téléspectateurs, l’an dernier devant la Nouvelle Star, j’avais été subjugué par les déhanchements de cette créature (non non pas la blonde), et surtout la voix hallucinante qu’elle avait bien voulu nous faire découvrir. Je parle bien évidemment du magnifique Christophe Willem, qui déboule avec son premier album Inventaire, qui a tout d’une bombe . Un peu de patience et je me substitue à la jolie blonde (on ne rit pas !). C’est parti pour une interview pleine de sincérité, d’humour et d’autodérision !

Tof : Bonjour Christophe ! Quel plaisir de te retrouver après tous les événements de la Nouvelle Star ! Bravo pour cet album, mais d’abord il faut que je t’engueule .
Christophe Willem :
Moi pourquoi ? Mais qu’est-ce que j’ai fait ? [Décomposé]

Tof : Et bien oui ! Figure-toi qu’on pourrait presque dire que tu es un peu l’anti Miss Dominique. Parce que si elle, elle a tendance à en faire des tonnes, on a l’impression que toi, tu es tendance à systématiquement te dévaloriser, et ça en devient même agaçant parce qu’il n’y a vraiment franchement pas de quoi .
Christophe Willem :
Huuuum il y a un peu de ça oui, mais en fait c’est tout simplement parce que j’estime que je n’ai rien fait de particulier. Avant de faire l’album j’ai participé à une émission de télé où je me suis contenté de chanter, comme je le faisais depuis très longtemps de façon intime avec mes amis, et donc j’ai pas l’impression que ce soit quelque chose d’extraordinaire ! Maintenant c’est vrai que ça n’empêche pas pour autant que je sois très fier d’avoir fait ce disque, et que les auteurs prestigieux que tu sais m’aient accordé leur confiance. J’estime malgré tout que ça reste de la musique, point. Je ne vais pas pour autant demain décrocher le prix Nobel de la paix quoi ! [Rires].

Tof : En tout cas à CitéGAY, l’album a beaucoup plu. On a dansé sur Kiss the Bride, et Double Je, et on s’est amusé à bien détourner les paroles de La tortue!
Christophe Willem :
Hola j’ose même pas imaginer ! Bon ben écoute merci d’être venu, c’était très sympa ! [Rires]

Tof : « Elu Produit de l’Année », est arrivé de manière quasi instantanée en tête des classements, et pourtant j’ai lu que tu n’étais pas très satisfait qu’il sorte en premier single .
Christophe Willem :
Non pas du tout, mais en fait je trouve que ce titre est moins abordable que Double Je par exemple, et qui lui va sortir en second single.

Tof : Parle-moi du clip …
Christophe Willem :
Ben la prochaine fois t’es dedans ! [Silence – Malaise -Eclat de Rire] En fait il y avait plusieurs propositions de clips et c’est moi qui ai choisi celui qui est diffusé.

Tof : On dirait qu’il y règne une ambiance assez délirante. Il n’y a pas un bêtisier qui traîne ou quelque chose comme ça ?
Christophe Willem :
Il y a des roughs, mais je ne les ai pas vus. Le clip de Double Je, sera encore plus dingo !


Tof : Par contre l’album commence par le très mélancolique Jacques a dit .
Christophe Willem :
Oui, ce titre exprime la nostalgie de quelqu’un qui a grandi et qui se rend compte que malheureusement, tous les espoirs qu’il misait sur son arrivée à l’âge adulte, ne sont pas là. C’est un peu la désillusion d’un enfant qui pensait que les adultes étaient plus posés, plus sensés, et qui se rend compte que malheureusement non . On ne joue plus à la guerre avec des soldats de plombs mais on se bat avec des armes bien réelles en gros.Tu vois on a beau nous dire tout et n’importe quoi, la vie c’est quelque chose qui se fait sur mesure, il n’y a pas de codes établis. On a beau se dire « Les choses seront comme ça », elles ne se passent en fait jamais comme on avait prévu .C’est chaque jour un rebondissement différent.

Tof : Peux-tu m’expliquer comment tu as fait pour que cet album te ressemble, malgré cette diversité de collaborations, avec des artistes qui pour la plupart, ne te connaissaient pas plus que ça .
Christophe Willem :
A la base, toutes ces personnes ne voulaient pas faire les choses à moitié, comme Zazie, qui simplement parce qu’elle a dit très souvent qu’elle ne voulait pas travailler avec des gens de télé-réalité, se devait de s’impliquer à fond, ne serait-ce que pour une question de crédibilité. Pour Philippe Katerine, Gonzales, Bertrand Burgalat, Mathias Debureaux ou Valérie Lemercier la démarche était aussi très atypique. Ils avaient un vrai souci de me connaître plus, c’est-à-dire comme je suis dans la vie de tous les jours, pour vraiment faire des textes et des musiques en fonction de ma personnalité. Je leur suis d’ailleurs vraiment reconnaissant parce qu’au lieu de chercher à m’imposer leur univers, ils ont voulu que j’amène ma touche personnelle dans le leur. Par exemple le titre Pourquoi tu t’en vas, que j’interprète en duo avec Valérie Lemercier, reste du Burgalat dans le style, c’est Valérie dans le texte et en même temps il y a cette touche que j’apporte au titre et que eux m’amènent avec leur originalité. C’est donc une vraie fusion de plusieurs univers qui s’est opérée !

Tof : Il y a eu des réunions pour décider des thèmes qui seraient abordés dans l’album ?
Christophe Willem :
Je n’ai pas réellement donné de direction précise. En fait ça s’est passé avec plusieurs équipes. Au départ j’ai demandé à Zazie d’écrire simplement par rapport à ce qu’elle avait vu de moi. Avec Jacques a dit et Quelle Chance, elle a cherché à montrer l’autre aspect de la personne dont tout le monde parlait à cette époque là. Valérie, Bertrand et Mathias, étaient eux plus intéressés par la situation de décalage du mec inconnu de 23 ans, et dont tout le monde parle du jour au lendemain. On a ensuite fait mieux connaissance, car forcément dès que j’abordais un thème avec Valérie, j’en parlais à Zazie pour éviter la redondance ! Le travail de création pure a en fait commence en Septembre pour finir fin Novembre, début Décembre. Tu vois on ne gardait l’album pas sous le coude pour une sortie marketing stratégique ! D’ailleurs le mastering s’est terminé il y a à peine une semaine !


Tof : Pourquoi avoir choisi le titre Inventaire?
Christophe Willem :
Ce sont surtout les connotations du mot qui m’intéressaient, et pas son sens premier. C’est une idée de diversité avant tout. C’est vrai que l’album est vraiment varié, avec des éléments très électro et aussi très acoustiques. En même temps il y a la connotation de bilan. Le disque sort finalement assez tard, un après mon passage à la Nouvelle Star, donc c’est une façon de mettre les choses à plat, genre au bout d’un an on fait un bilan sur tout ce qui s’est passé et sur qui je suis réellement.

Tof : Si je te dis qu’à la première écoute, l’album m’a semblé aussi fort que celui des Scissor Sisters ou d’un Mika à la française, qu’est-ce que ça te fait ?
Christophe Willem :
Ah ben j’aime beaucoup les Scissor Sisters ! Je les préfère d’ailleurs à Mika. J’aime beaucoup ce dernier mais en même temps je le trouve assez « freddie mercuryesque ». C’est original mais pas tant que ça. Par contre les Scissor Sisters, je les trouve vraiment originaux musicalement.

Tof : Dis-moi, j’ai noté que Double Je, traite du thème de l’indécision. Est-ce que ça veut dire que son auteure Zazie a perçu un manque de confiance chez toi, ou en tout cas une personne qui ne voudrait pas grandir ?
Christophe Willem :
En fait Double Je, c’est un peu un questionnement, du style « Est-ce que je suis plus comme ci ou plutôt comme ça ? » et le jour où il se dégagera une personnalité de tout ça, et bien je vous ferai signe ! [sourire] Les auteurs qui m’ont entouré ont été très fort pour cerner les différentes facettes de mon caractère. J’aime vraiment beaucoup cette chanson. D’un point de vue musical elle sonne très électro, et ma voix y est très aigue, au point que beaucoup ne me reconnaissent pas et croient même c’est une fille qui chante ! Ca tombe bien j’adore surprendre !


Tof : Lors des primes, Marianne James avait souligné ta dégaine un peu british, et André Manoukian t’avait comparé à Jarvis Cocker. Avec le surnom de la Tortue, ça fait beaucoup de choses qu’on retrouve dans l’album. En ce sens est-ce qu’on peut dire que la Nouvelle Star t’a révélé à toi-même ?
Christophe Willem :
Disons que l’émission fait en sorte que tu acceptes cette part de toi que tu n’acceptais pas avant. On s’aperçoit en fait que les candidats qui partent le plus vite sont ceux qui se mentent à eux-mêmes. Le public est loin d’être dupe et le sent très vite. Plus on essaie d’enfouir toutes les choses qu’on n’aime pas chez nous, plus il y a de chances qu’elles nous ressautent tôt ou tard à la tête. En ce qui me concerne au bout d’un moment je me suis dit que je m’en foutais. Par exemple regardons les choses en face : je ne suis pas musclé donc c’était inutile que je mette des vêtements épais. Autant que je mette tout de suite des trucs fins qui montrent vraiment que je suis maigre ! Après c’est pareil, j’ai pas la voix de Joe Cocker, donc il n’y a aucune raison que je me la joue super viril à la Johnny Hallyday. C’est pas crédible une seconde ! Il y a plein de choses comme ça qui font qu’à un moment donné on est obligé d’arrêter de se faire du cinéma. C’est une expérience qui met en exergue certains traits de caractère, qui avant étaient un peu plus enfouis.

Tof : Comme ta difficulté de communication, lorsque tu as un coup de cour pour quelqu’un par exemple. Le thème de la recherche de l’amour est très présent dans l’album. Et avec Safe Text ou Kiss The Bride on comprend que tu cherches l’amour mais qu’en même temps tu as du mal à t’engager .
Christophe Willem :
C’est un petit peu ça. Si tu veux, quand j’aime quelqu’un j’ai tendance à le lui faire comprendre très très très tard. Je suis incapable d’aller voir cette personne parce que je suis en panique totale. Dans cette situation d’ « observation », avec le temps on imagine la personnalité de cet élu et du coup on risque plus facilement d’être déçu. C’est pour ça que je préfère souvent me contenter d’un amour platonique ou fantasmagorique, plutôt que d’aller affronter physiquement ce qui pourrait se solder par un échec .

Tof : Pourtant tu es une Bombe Anatomique, c’est encore Zazie qu’il le dit dans la chanson du même nom. Est-ce qu’elle a vu le sex symbol qui sommeille en toi?
Christophe Willem :
Noooon ! Enfin, je ne sais plus de quelle manière elle l’a dit, mais elle a déclaré dans une interview « Christophe, il ne ressemble à rien mais il est beau ! ». Ca l’énerve carrément quand je dis que je ne m’aime pas ! Elle passe son temps à me dire : « Tout ça c’est que dans ta tête, accepte-toi tel que tu es ! ». En fait, Bombe anatomique, c’est un peu l’histoire de quelqu’un qui essaie tant bien que mal de s’apprécier.


Tof : Quelle a été ta réaction lorsque Katerine t’a proposé La Tortue ? Est-ce que ça a tout de suite été évident pour toi de mettre ce titre délirant sur ton album ?
Christophe Willem :
Ah oui ! Dès le début c’était une évidence, tout simplement une façon de remercier et de faire un cadeau aux gens qui m’ont soutenu dès le départ. Il fallait qu’ils sachent que je n’oublie pas d’où je viens, et que si je suis là c’était en partie grâce à eux. Et puis c’était une façon d’avoir une vraie dérision par rapport à tout ça. En fait cette chanson représente un peu ma face publique. Ma face cachée c’est la Bombe Anatomique, qui au fond ne s’accepte peut-être pas tant que ça. Bombe Anatomique ce serait un peu La Tortue, très drôle et très ironique, mais sans la carapace .

Tof : Parle-moi de la pochette de l’album et du single .
Christophe Willem :
Ah ! Tu veux connaître la raison de la présence de la petite pouffe ! [Il montre la jeune fille reproduite plusieurs fois sur le visuel] [Eclat de Rire]. Disposée plusieurs fois en rond derrière moi, ça figure une sorte de label, ou une cocarde on va dire. C’est une façon de recentrer les choses et c’est en même temps une image très statique, une façon de dépersonnifier mon personnage. Il faut dire que si ça n’avait tenu qu’à moi j’aurais préféré ne pas du tout figurer sur la pochette, mais pour les soucis marketing que tu imagines il fallait passer par là. C’est un visuel très baroque, qui semble représenter quelque chose d’inaccessible, qui s’éloigne complètement de moi, mais qui en même temps l’est quand même. Sur le verso, on me voit de dos, mais « normal », en jeans-baskets et on s’aperçoit que je tire un store, c’est-à-dire l’image du recto. C’est le côté ambivalent « Show » sur une face et Show Off sur l’autre, ou encore une façon d’exprimer mon côté introverti et intime d’une part, qu’on retrouve dans les ballades, et mon côté extraverti sur les titres plus allumés que sont Kiss The Bride, ou Double Je. Après, sur le single tu t’aperçois que la petite pouffe [Eclat de Rire] est reproduite de manière à former une couronne de lauriers, histoire de se moquer un peu d’une image de jeune premier que je n’ai pas. D’où mon expression interloquée du genre : « Ho ! C’est moi ? ». En même temps cette jeune fille est un peu le fil conducteur de l’album. En l’écoutant, beaucoup de gens vont se demander si je parle de cette fille que je désire avoir, ou si je parle de cette fille que j’aimerais être. Est-ce que c’est quelqu’un que j’attends ou une projection de ma partie féminine ? Donc voila, c’est une énigme ouverte, qui trouvera sa réponse si l’album marche ! Tout est concept tu sais . [Rires]


Tof : En parlant de féminité, est-ce que ça ne t’a pas un peu saoulé quand on a cherché à tout prix à savoir si tu étais gay ?
Christophe Willem :
Ca ne m’avait pas plus choqué que ça à vrai dire ! C’était évident que tout le monde allait s’engouffrer là-dedans ! Maintenant je n’ai aucun complexe par rapport à ça. Je ne suis pas en train de dire « mon dieu, ils sont en train de dire que je suis gay ! ». Il s’avère que je n’ai jamais eu d’expérience avec un gars. Maintenant je veux dire, il faut arrêter de se la jouer hétéro de base ! Pour moi les relations humaines sont une question de grande personne ; et un jour je peux rencontrer un gars qui me fera dire « Voila j’ai envie d’essayer ». Je ne suis absolument pas fermé, mais ce n’est pas parce que je dis ça qu’il faut crier Ah, il est gay ! » Non vraiment, si c’était le cas et si ça m’était déjà arrivé, je le dirais sans soucis. Seulement voila, ce n’est pas le cas !

Tof : C’est vrai aussi que lors des primes tu enfonçais un peu le clou, en choisissant de chanter « Où sont les Femmes », « True Colours » ou encore « I am What I am » .
Christophe Willem :
Ouiii ! C’est mon amie Elisabeth qui me l’a fait remarqué : « Mais enfin Christophe, je t’explique : « I am What I am » c’est juste l’hymne gay ! » Et bien je n’en savais rien figure-toi ! Par contre ok, pour « Où sont les femmes » c’était différent. Et puis si c’est connoté gay quel est le problème ? C’est quand même très souvent les gays qui font les meilleures soirées. La mode est très souvent inspirée de créateurs gay ou vient de la rue par une communauté très souvent à la pointe de ce qui se fait de mieux ! Je sais qu’il y a énormément de gays qui apprécient ce que je fais et mon personnage, mais je ne veux absolument pas abuser d’un public en faisant genre : « je fais partie de la bande, achetez mon album ». Si on m’apprécie c’est pour « qui je suis » et par pour « avec qui je couche ». Evidemment quand je dis aux gens de ma famille que si un jour il devait se passer quelque chose, ben ça se passerait, ils me regardent héberlués en disant « ah ben merde on savait pas ! ». Tout ça n’est finalement qu’une histoire d’ouverture d’esprit et pas de « bi » ou « hétéro ». Il s’agit de saisir les opportunités quand on ressent un vrai feeling pour quelqu’un. Que ce soit un garçon ou une fille on s’en fout !

Tof : Revenons à Inventaire. Tu as l’air très satisfait qu’il sonne anglais. C’était une volonté de ta part, parce que tu souhaites qu’il s’exporte ?
Christophe Willem :
Non pas forcément mais je trouve qu’en terme de son, les références britanniques sont souvent les plus nobles. Les anglais ont une façon de mixer et de masteriser les albums, font preuve d’une recherche musicale, qu’à mon avis en France on n’ose pas. Quand on me dit que l’album pourrait être anglais, c’est le plus beau compliment qu’on puisse me faire !


Tof : Parle-moi de la chanson Quelle Chance. A priori elle est plutôt enjouée, mais on sent une sorte de mélancolie derrière, pour ne pas dire une espèce de méthode Coué. Ca dit que finalement parce qu’on est en vie, alors on n’a même pas le droit de se plaindre .
Christophe Willem :
Huuum, c’est un petit peu la chanson trash de l’album. Si tu veux je m’imagine très bien marcher dans la rue avec un grand sourire, me prendre à chaque coin de rue une baffe, mais continuer à sourire et à dire « Quelle Chance ! ». C’est vrai qu’avec cette chanson on rit un peu jaune quoi !

Tof : Tu vas te produire au Bataclan et à l’Olympia. Peux-tu me révéler quelques petits scoops concernant les spectacles à venir ?
Christophe Willem :
J’ai pas forcément de scoops parce qu’on est en ce moment en plein travail de fond, mais je peux te dire qu’il y aura énormément de ré-orchestrations, et de vrais changements musicaux par rapport à l’album. Beaucoup de surprises du point de vue musical, car même personnellement je n’aime pas aller à un concert pour réentendre un album à la note près. J’aime bien que le spectacle comporte tout ce que j’ai aimé sur le disque mais avec aussi de vrais changements.

Merci beaucoup pour ton accueil simple et chaleureux Christophe ! La carte de la spontanéité et du naturel est toujours payante, c’est dire si ton personnage est attachant. D’ailleurs le public ne s’est déjà pas trompé sur ton talent de showman, puisque les quatre bataclan prévus sont déjà sold out. Mais qu’importe, de nombreuses dates sont prévues à travers la France à partir du 15 Novembre 2007, et on viendra t’applaudir avec force dans le cadre mythique de l’Olympia, en ce jour de grâce de la Saint Valentin 2008 ! En attendant Produit de l’Année, continue de caracoler, et la ritournelle de Double Je est déjà un hit avant sa sortie en single ! La machine est bien en marche et n’est pas prête de s’arrêter. Hep Christophe ! Je veux bien moi être dans ton prochain clip !

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