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Le documentaire  »Infrarouge » sur l’homosexualité a énervé les Twittos

L’avancée des recherches sur le génome humain, couplée à de récentes études sur les effets des hormones sur le comportement, bouleverse les idées reçues sur les comportements sexuels et leur contrôle par le cerveau. La préférence homosexuelle serait-elle de nature biologique ou résulterait-elle d’un choix ? L’homosexualité n’est pas la maladie mentale d’hier, ni la tare génétique de demain. Elle est simplement une variante naturelle d’une des caractéristiques biologiques fondamentales : l’orientation sexuelle.

Difficile de coller des statistiques sur le désir

Ce numéro d’Infrarouge ne pensait pas à mal en voulant porter un nouvel éclairage sur la diversité des conduites liées au sexe, chez les humains comme chez les animaux. Or, on ne choisit pas d’être attiré par Valentin ou de Valentine : on est attiré, voilà tout. Cela explique sans doute l’énervement croissant des Twittos devant cette émission qui semble encore avoir colporté des clichés malheureux. Et coller des statistiques sur quelque chose d’aussi mystérieux que le désir, ça ne convainc pas vraiment les téléspectateurs, qu’ils soient homo ou hétéro… ou les deux !

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