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Etat islamique : l’horrible vidéo qui montre un homosexuel se faire lapider après avoir été jeté du haut d’une tour

Les horreurs de l’Etat islamique semblent n’avoir aucune limite. Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme, dans la ville de Raqqa, en Syrie, un homosexuel a été jeté du haut du septième étage de la tour Tal Abyad par des militants de l’Etat islamique. Ayant miraculeusement survécu à sa chute, le malheureux, accusé d’avoir eu une « liaison homosexuelle », a ensuite été lapidé à coup de pierres par la foule.

Comme en témoignent de terrifiantes photos postées sur le site Live Leak, l’homme, qui semble âgé d’une cinquantaine d’années, aurait attendu le moment fatidique les yeux bandés, assis sur une chaise au bord du vide. Deux militants masqués et vêtus de treillis lui aurait lu un « jugement » condamnant sa sexualité avant de le jeter du haut de la tour.

Des photos montrent ensuite l’homme tomber dans le vide, suspendu dans l’air.

On peut ensuite voir une photo de lui à terre, apparament vivant. Un autre cliché montre un homme, vêtu d’un uniforme militaire, examiner la condition de la victime. Puis, des photographies aériennes montrent la foule se rassembler en cercle autour du blesser et lui lancer des pierres, jusqu’à ce que mort s’en suive. Ce genre d’abomination est malheureusment un classique de l’Etat islamique en Syrie. La semaine dernière, également punis pour homosexualité, deux hommes ont été jetés du haut d’une tour et deux autres crucifiés.

Au mois de décembre, l’EI a publié sur les réseaux sociaux un document expliquant les règles de son « Code pénal », brutalement mis en vigueur au sein des territoires contrôlés par l’EI en Syrie et en Irak. Intitulé « Clarification (concernant) le Hudud », ce texte contient une liste de punitions pour les crimes commis au sein de l’Etat islamique, en cohérence avec l’interprétation radicale du groupe extrémiste. Selon lui, toute personne (homme ou femme) ayant eu des relations sexuelles hors mariage est condamnée à l’exil immédiat ainsi qu’à des centaines de coups de fouet.

Source : Atlantico




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